HAS Haute Autorité de Santé, et Hypnose Thérapeutique
La Haute Autorité de Santé évoque l'utilisation de l'Hypnose dans différentes recommandations de bonnes pratiques notamment pour la prise en charge de la douleur aiguë en ambulatoire chez l'enfant de 1 mois à 15 ans. L'HAS indique que l'hypnose peut être un des moyens non pharmacologiques employés en complément des antalgiques.Pour plus d'information, consultez ce lien https://www.has-sante.fr/portail/L'Académie Nationale de Médecine, dans son rapport sur les thérapies complémentaires du 5 Mars 2013, souligne l'intérêt de l'Hypnose dans la prise en charge de la douleur aiguë chez l'enfant et l'adolescent et dans la prise en charge des effets secondaires des chimiothérapies. Le rapport précise également qu'il est possible que de nouveaux essais viennent démontrer l'utilité de l'Hypnose dans d'autres indications».https://www.academie-medecine.fr/wp-content/uploads/2013/07/4.rapport-Thérapies-complémentaires1.pdfEnfin, en 2017, la Société Française de Médecine d'Urgence (SFMU) s'est également positionnée en recommandant l'Hypnose thérapeutique comme technique complémentaire adaptée aux soins d'urgences.En France, l'hypnose a été reconnue en 1992 par l'Inserm après une conférence sur ses mécanismes et ses effets par le Dr Bongartz. Ce n'est qu'en 2001 que la première formation universitaire consacrée à l'hypnose ouvre ses portes sous l'impulsion du Dr Jean-Marc Benhaiem à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière (Paris).22 sept. 2019https://www.inserm.fr/.../evaluation-de-lefficacite-de.../